Comme tant, la nuit du changement d’année devient l’occasion de se faire plaisir, prendre un peu de sexe alors qu’il se tend. Il me relève ma jupe. Ernst… Prénom étrange, celui d’un prince d’ailleurs, je réalise cela tandis que je rigole à ses jeux de main sous ma jupe. Il m’étend doucement sur le lit. Je suis passive. Mais ça n’est qu’apparence comme toujours. Je régis et il lui suffit de regarder mes yeux, mon visage, ou m’écouter, pour se laisser guider… Je le sens excité et ça me suffit pour l’être moi aussi…. Il passe sa main entre mes cuisses humides. Il vérifie son petit effet. Il sait qu’il peut continuer, que me faire lécher les seins me va à ravir. Il peut descendre mon string également. Il n’y a pas de problème. Il ne se presse pas trop et j’aime cela. Un peu d’hésitation de sa part peut-être, mais il me désire c’est certain… L’hésitation de celui qui veut bien faire. Puis je sens le moment où je veux qu’il vienne en moi autrement que par l’intermédiaire de ses longs doigts fins. Je le vois s’embêter avec le préservatif. Alors je me redresse sur les coudes, je viens l’aider avec ma bouche à reprendre le contrôle de son engin. Je deviens active pour quelques instants. Je lui passe le bout de caoutchouc maudit…

Lascive je m’étends de nouveau. Je me laisse faire. Il parle. Il plaisante. Je ne sais pas trop ce qu’il dit mais je rigole. Et je me laisse mettre sur le ventre les fesses relevées, la jupe retroussée. Il caresse mes bas et sort quelques paroles cochonnes qui m’excitent agréablement. Je rougis il me semble. Je mouille sa langue qu’il me glisse… parfaitement bien.  Je ne le vois plus, le nez dans les draps, je ne le vois plus. Lui ou un autre… il n’est que mains. Mains et caresses. Etreintes. Il ne s’y prend pas comme un autre. D’ailleurs peu d’hommes s’y prennent comment les autres. Ils ne se ressemblent que rarement. Mais c’est le même plaisir. Un plaisir différent mais connu. Et il monte en moi. Il monte… il monte… Comme la petite bête… Comme tant d’autres je fais l’amour le soir du nouvel an. Pathétique sans doute… Mais tellement jouissif par ailleurs. Je me fais baiser, mais ça ressemble tellement à de l’amour.

Recevoir un mail à la publication de la prochaine page de mon journal? Cliquez ici!